WEI OVAL’MINES 2018

[Glossaire : WEI = Week-end d’Integration, ou Week-end d’Extreme Intelligence]

Pour cette 2ème édition, record de 43 participants au compteur ! Une fois n’est pas coutume nous choisissons la Bourgogne pour son terroir, ses vues panoramiques et son soleil. Plus précisément : direction Saint Floren(ce)tin Métropole.

VendredWEI

Le weekend comment tôt avec un réveil matinal pour la team orga : Florence , Marion , Marie, Harald et Carine se lancent dans la préparation de ce week-end de folie, tandis que le reste des équipes fait semblant de travailler jusqu’à la dernière minute. Accueil des troupes prévu à 21h après 3h de routes. On distingue le fourgon boîte de night de Victor, la familiale de Vincent, Camille et ses mamies, la voiture des nouveaux (Vincent, Tom, Lorraine…) tandis que le très attendu pot de yaourt d’Adrien n’arrivera que le lendemain.

Découverte de la villa des cœurs brisés du domaine des Lammes : pas facile de s’y retrouver. Les premiers choisissent la maison du chien qui pue pour son calme. Les loveurs en puissance comme Julien et Vincent préfèrent le pigeonnier. Les clubbers ne s’assumant pas – « ouais on verra où je dors » – resteront dans la villa Party De L’Extreme.

Présentation du week-end dans la salle à manger. L’apéro ayant déjà bien, bien commencé (même depuis le taf pour certains ^^), les participants ne laissent pas les charmantes organisatrices Florence & Marion annoncer les hostilités. Deux mains « innocentes » Amaury et Clémence tirent au sort les équipes à s’affronter le lendeuxmains. C’est la cohue : le bleu se confond avec le rouge pour faire du violet, Olivier manque de s’arracher la voix, Maïa lève le doigt sans comprendre pourquoi, les chants sont dissonants… Un killer est alors lancé dans le plus grand des cahots (record du monde du kill le plus rapide : 5min). Les nouveaux sont ensuite regroupés en troupeau et se voient offrir de magnifiques colliers à conserver en toute circonstance. On lâche enfin les fauves qui s’élancent vers la salle de teuf.

La tireuse (non pas toi Philippine…) nous attend tandis que DJ Chicha enchaîne son 4ème DJ set de la journée. La salle se remplit vite, le public se déchaîne et les vêtements s’envolent miraculeusement au plafond. Flying Maia s’envoie en l’air avec ses gymnastes de talent: Georges et Doudou. Certains ne sortiront pas indemne de cette soirwei.
Sur la terrasse, Julien qui a bien plus qu’une Cordelle à son arc, nous sort plusieurs flèches de son carquois.
Après 6h de danse endiablée, le dancefloor se vide enfin car quelques heures plus tard une grosse journée allait commencer…

SamedWEI

Réveil des troupes au clairon par général Florence. Dès le petit déjeuner, des indices sont dissimulés sous le Nutella pour démarrer l’activité : une bonne vieille race d’orientation. Après un petit lancer de ballon-peinture, chaque équipe quitte le domaine au pas de course pour aller cueillir le jus de la région. C’est au cœur des champs que nous goûtons avec joie le sang de la terre. L’équipe rouge beaucoup plus adroite (bien que politiquement à gauche) prend la tête de la course et se révèle balèze pour trouver les balises… 11h : 1èr checkpoint atteint, champagne ! 11h30 : du blanc, 12h : du rosé, 12h30 : du rouge! Plus précis qu’un colorier Pantone, du Florence tout craché. Au fur et à mesure, l’écart se creuse tout comme les estomacs (sans parler de celui de Ludo, bien vide depuis la veille…)

Et la surprise de la journée se dévoile enfin. Après avoir fait le plein d’énergie, il faudra construire un radeau de fortune et affronter les torrents de la rivière. Les équipes repoussent l’échéance de l’eau froide avec paquitos, freesbrie et jeux de ballon. On mange sur le pouce (ou sur la pagaie pour Maxime). Et ensuite, c’est parti : les radeaux s’élancent (ou plutôt s’écoulent). Il faut parcourir les 3km de rivière en sous-marin. Sur le chemin des moussaillons, des bouteilles sont encore dissimulées afin de réchauffer les corps frigorifiés. 14h : Ratafia et ses 18%, 15h : café, 15h02 : ouf du cidre, et ça sera le point d’arrivée (merci aux chasseurs de nous avoir épargné la dernière balise). Les aventuriers brisent leurs embarcations de fortune afin de lancer un feu avec les débris. Timothée Crusoé doit se rhabiller, car le général Penelle, ancien marin-pompier de la caserne d’Ostende, étouffe le feu en un rien de temps.
Des fourgonnettes banalisées ramènent les survivants au gîte. Tandis que les plus faibles vont se coucher, d’autres profitent du calme pour se laver en douce à l’eau douce. Sachant que l’eau est un bien commun, certains décident de prendre un bain commun. Tous les moyens sont bonsnpour se réchauffer.

17h30: Marion nous donne RDV dans la basse-cour pour annoncer le choix des parrains par leurs fillots et présenter la deuxième partie de la journée : la préparation d’un Show par équipe. Les intellos partent vite répéter alors que les cancres ont préféré s’amuser à base d’alcools, tabacs et cartes. Le repas tarde à arriver car l’équipe cuisine ne savaient pas qu’il fallait allumer le four. Passage à table à 22h pour le début des shows.
L’équipe verte animée par Edouard la blague nous hypnotise pour de vrai au cours d’un show totalement bouleversant. Edouard devient magicien et abuse de ses proies… Déroutant.
Après un steak de concombre (vert lui aussi), c’est au tour de l’équipe violet de s’élancer. Victor nous fait s’interroger sur des sujets de fond avec des questions intellectuelles des plus pertinentes dans le monde du rugby Oval’Minois. La salle est divisée en 3 tablées et est amenée à se positionner sur des sujets épineux. C’est Bouliche qui nous apporte la réponse sur un plateau.
Le vin rouge accompagnant la tartiflette amorce le spectacle des rouges communistes qui proposent un show théâtral orchestré par le camarade Jammy Frydmanov. Sa troupe de bolvechiques l’accompagne dans une pièce retraçant l’épopée de la journée au cœur de l’hiver prussien. Fidèles au parti, ils dénoncent la souffrance infligée par la Nomenklatura et le grand secrétaire : Florence Staline. Inquiétant.
Une pomme en guise d’entracte laisse le temps aux noirs de s’échauffer la voix. Les all blacks changent de script au dernier moment pour nous improviser un Harald Haka époustouflant. L’homme entraîne ses coéquipiers dans une trance qui fait trembler les murs de la salle. Dépoussiérant.
Enfin, dans le marasme laissé par les shows précédents, l’alcool et la tartiflette, l’équipe bleue nous termine avec une danse endiablée des MaMa, suivie d’un one-dolphin show nous amenant à nous pencher sur nos pratiques favorites. Expédiant.
Le jury qui, au menu aurait préféré manger des « Penelles de Bouchet » a tranché. Au vu de cette journée, l’équipe des rouges remporte haut la main la victoire.

23h30, il est l’heure pour les enfants d’aller se coucher : P-y, Victor, Amaury, allez les petits !
En guise de before, chacun y va de son activité: tous les types d’activité et de jeux y sont représentés. Tandis que quelques Rugbymans jouent avec des ballons ovales, une équipe de 4 téméraires s’attable pour jouer au ballon rond. Ils s’affrontent au baby-baff. La partie se termine en coup de vent, en raison d’un problème de surchauffe des joues de Tom et Harald. La soirée se décale progressivement vers la salle de teuf où DJ Maxime nous attend pour un mix avec des sons venus d’un autre continent. La salle emplit, et la soirée clubbing bat son plein. La terrasse est pleine et les boissons exotiques sont partagées. Des rhums aux noix arrangées sont soigneusement rangées dans certains individus, au cas où… Pierre veut jouer à chiff ou crach, mais le problème c’est que ça tâche. Bref, une sympathique deuxième soirée aura eu lieu après une éprouvante journée. Les clubbeurs rejoignent leur lit douillet pour une dernière nuit bourguignonne.

WEImanche

Réveil plus que tranquille pour toute la troupe. On mange et on en profite pour repartir le bétail dans les convois. Un pot de yaourt pour Adrien, et il est déjà parti avec Chicha. D’autres suivront pour éviter le rangement et la pluie. Habile ! Ludo, frais comme un gardon, répète son discours du prochain match.

Malgré les rires et les bons moments passés, l’ambiance est à la tristounade car oui, le WEI 2018 est fini. Harald, Marie et maïa nous font leur aurevoir pour mieux revenir au gala.

Les nouveaux sont parrainés, intégrés, ouf la relève est assurée! Le cru 2018 est bon, c’est pas du ratafia !
Alors bienvenue à Clémence, Marine, Lucie, Carine, Alice, Lorraine, Kate, Julie, Tom, Pierre, Amaury, Vincent, Maxime, P-y. Les autres nouveaux absents on ne vous oublie pas : bienvenu !

Merci à tous ceux qui ont participé de looooiiinn ou de près, à rendre ce WEI intégralement sensationnel

On vous embrasse fort
Bisou, cœur, fleur

 

 

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