28/02 Trophée Serval’Mines #1 : L’innovation ne paie pas (longtemps)

Rendez vous en ce beau samedi matin dans la tranquille banlieue de Vanves. Sur le chemin, un petit SMS de Doby : le mec qui a le n° qui fini par 06 20 ne viendra pas. Puis c’est ARTE qui me prévient, à 9min de l’heure de RDV…

Sami, collègue envoyé par ARTE nous rejoint : tu fais du rugby ? : non ; tu connais les règles ? non ; Tu pèse combien ? 57kg ? ok tu joueras pilier.

On se regroupe : 1 , 2, 3 … ,13. Ok 13, ben on va jouer quand même. Mais il est où le 9 ? Ah merde, c’est lui le 06 20. Bon ben Vinz va réaliser un rêve d’enfant sous les yeux de son père : jouer 9 (note pour plus tard, mettre un maillot à la bonne taille). Les servals nous prêtent 2 joueurs pour compléter.

Un échauffement bâclé plus loin, on commence. Tous ces changements vont porter leurs fruits, l’alchimie prend et Oval’Mines va conclure, par Benjamin, sa première incursion sur un beau renversement.

Malheureusement, cet état de grâce ne va pas continuer. La touche abandonne complètement le ballon à l’adversaire, et les servals vont en profiter. Leur capacité à jouer debout et dans le mouvement auront raison de notre défense. 2 essais plus loin (dont un fort beau maul), L’arbitre siffle la mi temps.

Tiens, mais ce sont Julian et Fernando qui sont arrivés ? Cool, on va pouvoir faire tourner ? Ah non, en fait les servals vont récupérer leurs mecs plutôt. Maxou repasse à l’aile pour une deuxième jeunesse.

Deuxième mi temps : on recommence pareil. Sur une touche ratée par les Servals, Quegui perce, décale Vinz, puis après 2 temps de jeu, c’est encore Benjamin qui aplatit. C’est bon les gars, on a trouvé la formule, on va gagner le match ! En fait non, malgré de bons temps de jeu devant, notre domination est stérile, et nous ne passerons jamais devant.

Avides de nouveautés, nous testerons Julian à l’aile quelques minutes, le temps que Dorian soigne son nez. Gerardo arrive à la 55eme minute. Un échauffement ? non pas besoin ! hop sur le terrain.

Fatigués, les Mineurs vont baisser pavillon sur 2 contres assassins des servals, qui jouent parfaitement sur leurs qualités : vitesse et mouvement.

Bilan, match pas terrible pour se remettre. Le trophée va aux servals. On reviendra l’année prochaine pour le disputer !

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